Le bien-être chez DEMAIN

Le bien-être chez DEMAIN 937 840 DEMAIN

Le bien-être chez DEMAIN


Le “bien-être en entreprise” est un sujet aussi essentiel que complexe. Il fait partie des chantiers auxquels notre candidature B Corp a donné un coup d’accélérateur, nous incitant à le formaliser davantage. 


UNE PRIORITÉ POUR DEMAIN 

Rattachée à des notions de sensations ou de satisfactions, la mesure du bien-être est par définition difficile à saisir. Notre cercle interne a néanmoins mis sur pied, testé et retravaillé, un baromètre. Cet outil a pour but de faire un état des lieux régulier sur le sujet et d’identifier les points d’attention sur lesquels agir et progresser.

Plusieurs enseignements issus de notre dernière édition :

Base eNPS :  Questionnaire Bien être – 41 répondants  – “Sur une échelle de 0 à 10, quelle est la probabilité que vous recommandiez DEMAIN à un ami/collègue/membre de la famille ?”

Pour rappel, le Employee Net Promoter Score est la différence entre la part de promoteurs (ont répondu 9 ou 10) et les détracteurs (6 ou moins). Sa moyenne actuelle dans les entreprises françaises de 100 à 499 salariés est de -10, et de -21 dans le secteur du conseil.

Si les trois leviers de bien-être ressortent quasi unanimement, nous relevons également sept champs de progression –  identifiés plus ou moins nettement :

  • pression et stress

  • déséquilibre pro-perso

  • question du sens au travail

  • iniquité des évaluations

  • difficultés à exprimer son mal-être

  • solitude

  • coaching difficile (côté coach)

Ces sept points forment une base de réflexion pour le cercle bien-être. Ses membres se questionnent sur ce qui peut être renforcé ou instauré, afin de minimiser les risques. Cela commence par assumer que certaines situations sont presque inévitables, car à la croisée des “risques du métier”, la présence de profils très engagés dans nos équipes et de notre culture de l’impact. Mais notre rôle est d’apprendre à les gérer ensemble, pour limiter au maximum l’installation de situations de mal-être.


L’OBLIGATION DE PROGRESSER 

Depuis trois ans, des actions concrètes ont été impulsées en ce sens : des choix de staffing raisonnables, des missions ajustées dans leur délai, du renfort au sein d’équipes surchargées, des salarié·e·s “protégé·e·s” en retour d’arrêt maladie ou suite à une mauvaise expérience…

Nous sommes forcé·e·s de constater que ce n’est toujours pas suffisant. Les arrêts maladies ou les fragilités exprimées par certain·e·s nous le rappellent. C’est pour cela que le cercle bien-être a annoncé l’intensification de son activité. Et pour être sûr·e·s de s’y prendre au mieux, DEMAIN a pris la décision de se faire accompagner par une psychosociologue.

Ses membres ont commencé par cartographier les facteurs de risque éprouvés dans les différents cas de mal-être. L’idée étant que nous apprenions tous·tes à les identifier, chez nous-même ou chez nos collègues pour être toujours plus vigilant·es. Entre autres : des situations personnelles compliquées, un isolement conjoncturel, un enchaînement de missions intenses…

Pour transformer ces constats en actes, le cercle bien-être a posé des garde-fous spécifiques à chaque étape du “cycle de vie” des salarié·e·s DEMAIN (entretiens d’embauche, onboarding, missions…). En spécifiant pour chacune les actions existantes à renforcer, et celles qu’il conseille d’implémenter aux autres cercles (recrutement, staffing…).

D’ici là sa principale recommandation est de continuer à libérer la parole et développer l’écoute, qui constituent à elles deux une base essentielle pour prévenir le mal-être.