• L’échec est un formidable vecteur de transformation : après la Coupe du Monde, l’équipe de football connait échecs sur échecs. La défaite est la leçon la plus difficile qu’il soit mais permet de se surpasser et d’explorer de nouveaux horizons. Jill Eilis décide de restructurer son équipe en recrutant de nouveaux profils et adapte ses méthodes de coaching. Elle attend de ses joueuses qu’elles la suivent malgré les décisions difficiles à prendre  » Ca va être pénible, ça va être stressant mais c’est nécessaire pour qu’on s’améliore et j’ai besoin que vous compreniez ma démarche ».
• Garder le cap, chaque risque est une opportunité : il faut avoir confiance en soi et en ses idées même si les résultats ne sont pas visibles immédiatement  » Si je coachais c’était par conviction ».
• Être honnête avec soi-même et se faire entendre : Jill Ellis évoque l’importance de son coming-out auprès de son équipe. Cela lui a permis de se libérer et d’être plus performante en tant que coache. Son équipe aussi a décidé de s’affirmer, en utilisant leur notoriété au service d’une cause : la défense de l’égalité salariale femmes/hommes dans le football mais plus généralement dans tous les milieux.

Vous ne deviendrez peut être pas champion·ne du monde football grâce à ce documentaire, mais vous pouvez découvrir le parcours inspirant de Jill Ellis ici.