Les premiers résultats de nos objectifs d’impact positif

Les premiers résultats de nos objectifs d’impact positif 937 842 DEMAIN

Les premiers résultats de nos objectifs d’impact positif


Il y a quelques mois nous vous partagions nos premières réflexions sur l’objectivation de notre impact positif en mission qui ont conduit à :

  • la définition de trois territoires d’impact sur lesquels nous souhaitons progresser et faire progresser nos client.es

  • la fixation d’un objectif quantitatif à l’échelle du cabinet

À la fin de l’année 2022, nous avons réalisé un bilan afin d’évaluer, sur chacune de nos missions et au global, l’atteinte de nos objectifs d’impact positif.


Un objectif à l’échelle du cabinet d’atteindre 50% de missions à impact positif

Notre objectif, à l’échelle du cabinet, est d’aider tous.tes nos client.es à progresser sur 3 territoires d’impact, quel que soit leur niveau de maturité sur ces sujets.
Nous avons défini ces territoires en cohérence avec notre cœur d’activité et à l’aide de l’outil B-Corp afin d’avoir l’impact le plus positif possible dans notre écosystème :

  • représentativité des marques ou des médias
  • horizontalité du fonctionnement interne
  • neutralité de l’impact écologique au-delà de la compensation pour les marques et exposition de la crise climatique pour nos client.es des media

L’objectif quantitatif que nous nous sommes fixé.es est d’atteindre à l’échelle du cabinet 50% de missions à impact positif sur chaque territoire d’impact et sur les 50% restantes, de convaincre nos client.es d’intégrer ces sujets à leur réflexion. C’est une démarche avant tout progressive et réaliste que nous avons voulu illustrer par cette mesure.


Une méthodologie d’évaluation à deux niveaux : par mission et à l’échelle du cabinet 

Un premier niveau de mesure par mission
Pour chacune de nos missions, nous nous sommes fixés des objectifs qualitatifs et/ou quantitatifs propres à la mission, sur chacun des trois territoires d’impact précédemment cités.

Nous avons ensuite mesuré l’atteinte de ces objectifs sur chacun des territoires à l’aide d’une échelle d’évaluation à trois points :

  1. Amélioration : ex. déploiement du projet avec un impact positif quantifiable, effectif et pérenne

  2. Pris en compte : ex. définition du plan d’actions sans mise en œuvre ou actions mises en place mais sans résultats probants (pas d’impact sur les KPIs)

  3. Non pris en compte : ex. pas de changement de point de vue ou pas de KPI mesurable

Cette atteinte de l’impact est relative aux différents territoires sur lesquels s’inscrivent les objectifs fixés par mission, selon qu’il s’agisse d’actions concrètes à mettre en œuvre, de mesure de l’impact positif ou encore de pédagogie.

Ainsi, si nous considérons comme pris en compte, sur le volet actions, un sujet pour lequel il a été défini un plan d’actions sans mise en œuvre, sur le volet mesure, nous considérerons dans la catégorie “pris en compte” le fait d’avoir, par exemple, développé et lancé en production un outil de mesure des KPIs d’impact positif même s’il n’est pas encore live.

À titre d’exemple, ci-dessous les objectifs fixés pour un acteur des loisirs et l’évaluation de leur atteinte :

Une consolidation de ces résultats à l’échelle du cabinet

Après l’évaluation de l’atteinte des objectifs par mission sur chacun des trois territoires d’impact, nous avons consolidé les résultats par territoire en évaluant pour chacun d’entre eux, le % de missions qui s’inscrivent dans une amélioration, une prise en compte ou une non prise en compte des sujets d’impact positif.

Afin d’avoir une lecture au plus juste de l’impact positif à l’échelle du cabinet, nous avons appliqué une pondération par acteur prenant en compte :

  • sur le territoire de l’horizontalité, le nombre de collaborateurs de nos client.es

  • sur les territoires de représentativité et d’impact environnemental, le nombre de clients de nos clients

ce qui nous permet d’avoir une mesure globale de notre impact au prisme de la portée réelle de nos actions.


Des premiers résultats qui nous offrent un point de départ pour accélérer

Sur chacun des territoires d’impact, nous avions comme ambition d’atteindre 50% de missions à impact positif et sur les 50% restantes, de convaincre nos client.es d’intégrer ces sujets à leur réflexion.

Lorsque nous dressons le bilan de l’impact de nos missions sur chacun de ces trois territoires, il apparaît que nous avons encore une forte marge de progression sur chacun d’eux. S’agissant d’une première année, ces premiers résultats marquent un point de départ pour accélérer.

Nous avons identifié deux pistes d’optimisation :

  • s’interroger dès le stade de la proposition commerciale, ou au moins au démarrage de la mission, sur ce qui pourrait être fait / proposé sur les trois territoires d’impact, et « orienter » la mission dans ce sens
  • capitaliser sur les missions déjà réalisées sur les trois territoires d’impact (et les suivantes) pour développer notre notoriété sur ce type de sujets et en faire de nouvelles